Stefan Reinhard de pixelegg

Fondateur et PDG

« Comme un grand couteau suisse »

« Depuis les dĂ©buts d’EGroupware, Pixelegg a Ă©tĂ© associĂ© Ă  cette solution, d’abord en tant qu’utilisateur, puis en tant que co-concepteur et partenaire de vente et de support. Toute personne qui connaĂ®t une demande de tant de cĂ´tĂ©s a naturellement aussi des souhaits.

Stefan Reinhardt a une raretĂ© sur les tablettes : le premier manuel d’EGroupware. Depuis plus de dix ans maintenant, l’agence Pixelegg de Viernheim près de Mannheim, qu’il a fondĂ©e et dirigĂ©e, utilise cette solution de collaboration. Ă€ l’Ă©poque, il cherchait en fait quelque chose d’autre pour son entreprise, Ă  savoir un logiciel de gestion de projets et de gestion d’adresses – et Ă  sa grande surprise, il l’a trouvĂ© dans un collecticiel. « La fonctionnalitĂ©, c’Ă©tait la version communautaire Ă  l’Ă©poque, nous l’avons trouvĂ©e très bonne pour l’Ă©poque », se souvient Reinhardt. « EsthĂ©tiquement, ce n’Ă©tait pas très bien conçu, mais nous avons fait avec. »

En attendant, Pixelegg utilise la solution sous la licence d’entreprise (EPL) « more-than-groupware ». Il est basĂ© sur la variante Linux Univention Corporate Server (UCS) ; LDAP est utilisĂ© pour l’administration et l’authentification des utilisateurs. Il est connectĂ© Ă  une base de donnĂ©es MySQL et au serveur web Apache.

Pixelegg Informatik & Design GmbH a un double domaine d’activitĂ©. Tout d’abord, il s’agit d’une agence Typo3 qui produit et gère des sites web pour les entreprises, les autoritĂ©s locales et d’autres organisations de la rĂ©gion. D’autre part, c’est un partenaire d’Univention qui vend, met en place et soutient EGroupware sur une base UCS pour ces utilisateurs et organise les cours de formation correspondants.

Au sein de l’entreprise, Pixelegg utilise bien plus que les fonctions rĂ©elles du collecticiel. Le gestionnaire de projet et le système Infolog, avec lequel diverses informations peuvent ĂŞtre connectĂ©es dans EGroupware, sont particulièrement importants. Cela s’applique, par exemple, Ă  un projet, de la demande Ă  la mise en Ĺ“uvre et au soutien continu :

Pixelegg a crĂ©Ă© des modèles pour des projets de diffĂ©rentes envergures dans le gestionnaire de projets EGroupware. Ces modèles contiennent dĂ©jĂ  les Ă©tapes nĂ©cessaires, le temps nĂ©cessaire prĂ©vu et les tâches Ă  accomplir, qui sont dĂ©jĂ  attribuĂ©es Ă  certains employĂ©s. Après un rĂ©glage fin, les employĂ©s n’ont plus qu’Ă  cocher ce qui a Ă©tĂ© fait dans le journal d’information. En mĂŞme temps, il serait transparent si les choses se resserraient quelque part.

En mĂŞme temps, un journal de projet est crĂ©Ă© en reprenant certaines informations, dans lequel le client peut vĂ©rifier l’Ă©tat d’avancement de sa commande. Cet agenda de projet est en fait une fonctionnalitĂ© de CRM qui comprend plus que la gestion des donnĂ©es de contact. Elle Ă©numère plutĂ´t ce que Pixelegg a fait pour un client. « Lorsque nous faisons ou modifions quelque chose dans le projet, nous l’Ă©crivons dans le journal ouvert au client », explique Reinhardt. « Ainsi, le client est toujours Ă  jour. C’est cool. »

Pixelegg EGroupware a Ă©galement adaptĂ© d’autres fonctionnalitĂ©s plus prĂ©cisĂ©ment Ă  ses propres besoins. De cette manière, les courriers Ă©lectroniques peuvent ĂŞtre liĂ©s Ă  des modèles de divers documents, par exemple pour les lettres de motivation ou les offres. Il y a des Ă©valuations et des statistiques. Deux stagiaires de Pixelegg fournissent la preuve de leur formation par le biais d’un journal d’information utilisant des feuilles de temps, qui sont crĂ©Ă©es comme modèles.

De plus, les employĂ©s de Pixelegg utilisent EGroupware sur leurs smartphones Apple et Android. « Cela fonctionne parfaitement », rapporte Reinhardt. « Mais nous l’utilisons davantage pour la lecture ou pour les votes du calendrier. Pour d’autres tâches, nous prĂ©fĂ©rons gĂ©nĂ©ralement le bureau ».

Ceci est le rĂ©sultat de la diversitĂ© des fonctionnalitĂ©s d’EGroupware. Reinhardt : « C’est comme un couteau suisse très Ă©pais. » Et Pixelegg a traitĂ© plus intensivement le problème de la manière de garder la vue d’ensemble. Les habitants de Viernheim ont Ă©tĂ© directement impliquĂ©s dans une large mesure dans le dĂ©veloppement de la nouvelle interface utilisateur d’EGroupware.

NĂ©anmoins, Pixelegg constate dans les projets et les formations que l’Ă©tendue des fonctionnalitĂ©s et leur mise en relation reprĂ©sentent un obstacle pour les utilisateurs. « EGroupware n’est pas aussi simple que Word, mais ressemble plus Ă  Photoshop », compare Reinhardt. « Elle ne s’explique pas d’elle-mĂŞme pour les utilisateurs finaux. Il faut s’impliquer, et soudain il y a de grandes choses qui rendent le travail beaucoup plus facile ».

Bien sĂ»r, les utilisateurs finaux ont initialement quelque chose comme Outlook en tĂŞte. « Au plus tard lorsque votre iPhone synchronise les rendez-vous avec les documents qui y sont liĂ©s, plus personne ne parlera d’Outlook », rapporte Reinhardt. Selon son expĂ©rience, la gestion de documents est particulièrement populaire auprès des utilisateurs, d’autant plus que de nombreux clients de Pixelegg travaillent dans des lieux distribuĂ©s. « Lorsqu’ils travaillent ensemble sur un document, ils avaient beaucoup de mal Ă  envoyer les choses par e-mail, ou des problèmes de synchronisation. C’est fini chez EGroupware. Il y a quelques fonctions de bang qui ne peuvent pas ĂŞtre remplies.

Du point de vue des administrateurs, Reinhardt rend compte de trois expĂ©riences : Premièrement, EGroupware est mature et stable. Deuxièmement, les processus sont faciles Ă  mettre en place. Et troisièmement, l’effort de maintenance est faible. Par exemple, un client a rĂ©cemment rĂ©ussi Ă  passer Ă  EGroupware 17.1 sur la base d’un SCU « en quelques clics ». « Je n’ai jamais vu une administration aussi heureuse. »

NĂ©anmoins, Reinhardt a Ă©galement des souhaits pour le dĂ©veloppement futur d’EGroupware. En tant qu’utilisateur, il n’a pas la possibilitĂ© de gĂ©rer activement un projet ou de faire une MĂŞlĂ©e dans le gestionnaire de projet. « C’est suffisant pour une gestion de projet pure. Ce serait bien d’avoir un tableau sur lequel je pourrais faire dĂ©filer les diffĂ©rentes Ă©tapes du projet et obtenir une reprĂ©sentation visuelle du projet ».

Sur la base de l’expĂ©rience des clients, il propose de rĂ©duire l’interface utilisateur. Il peut ĂŞtre utile de supprimer les icĂ´nes inutiles sans supprimer la fonction cachĂ©e derrière elles. Dans un premier temps, cela permettrait aux utilisateurs finaux d’utiliser plus facilement EGroupware. Plus tard, les icĂ´nes ont pu ĂŞtre restaurĂ©es et des fonctions supplĂ©mentaires nĂ©cessaires entre-temps ont pu ĂŞtre ouvertes ».

« Je voudrais, je voudrais, je pourrais », dit Reinhardt, « Je pense qu’EGroupware est vraiment rond. »

pixelegg Informatik & Design GmbH

Pixelegg est, depuis plus de dix ans, l’agence Typo3 Pixelegg de Viernheim près de Mannheim.

www.pixelegg.de